Marathon de Paris 2025 : Rencontre avec Jean Muller, un coureur engagé
À l’approche du Marathon de Paris 2025, nous avons rencontré Jean Muller, un ingénieur passionné de course à pied qui s’apprête à relever un double défi : courir son premier marathon tout en soutenant notre association, Franck, un Rayon de Soleil. Découvrez son parcours, ses motivations et ses objectifs pour cet événement emblématique.
Jean Muller
Pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Jean Muller, j’ai 29 ans et je suis ingénieur en chimie des matériaux près de Nantes. Ma famille habite aujourd’hui à Oermingen et j’ai fait mes études d’ingénieur et un doctorat en chimie à Strasbourg.
Comment avez-vous découvert la course à pied ? Racontez-nous vos débuts !
Alors, j’ai commencé à courir il y a environ 7 ans maintenant. J’ai d’abord commencé à courir après avoir vu un de mes cousins qui courait régulièrement et participait à différentes courses et compétitions. J’y ai vite pris goût et j’ai alors décidé de m’entraîner plus régulièrement et de participer à des courses. Pour moi, la course à pied est une activité physique très accessible car où que l’on soit, on peut facilement aller courir. De plus, j’adore courir car cela me permet de me dépenser, de me surpasser tout en étant à l’extérieur et au contact de la nature.
Pourquoi avoir décidé de participer à un marathon ?
Au début de ma pratique de la course à pied, j’ai d’abord participé à des courses courtes, notamment des 5km et des 10km. Depuis 2 ans, j’ai essayé de travailler davantage mon endurance et j’ai déjà participé à 2 semi-marathons, celui de Genève en 2023 et celui de Paris cette année. Avec l’entraînement, je me suis lancé le défi de passer à la distance supérieure qui n’est autre que le fameux marathon.
Pourquoi avoir choisi de courir au nom de notre association, Franck, un Rayon de Soleil ?
J’ai déjà participé au semi-marathon de Paris cette année au nom d’une autre association, Mon Petit Cago, qui lutte contre les cancers pédiatriques et notamment le rétinoblastome. Cette initiative m’a donné énormément de force et d’énergie et j’ai voulu me relancer dans une autre participation de ce type car j’aime me dépasser tout en essayant de penser aux autres, même à ma petite échelle. Les associations qui luttent contre les cancers pédiatriques comme la vôtre sont indispensables selon moi. D’autre part, dans notre société qui semble souvent égoïste, je suis persuadé que la solidarité et le partage doivent l’emporter.
Comment avez-vous entendu parler de notre association ?
J’avais déjà entendu parler de votre association, notamment par l’intermédiaire du projet inspirant d’Alexandre Schmitz qui est originaire du même village que moi.
Avez-vous déjà fait un marathon ou c’est une première expérience ?
Non, je n’ai jamais fait de marathon ! J’ai décidé de m’inscrire à celui de Paris car c’est le marathon le plus connu en France et que je voulais également donner un maximum de visibilité à l’association que je représente.
Comment vous préparez-vous pour ce défi ?
À l’heure actuelle, je m’entraîne en général 3 fois par semaine pour une distance entre 30 et 35 km/semaine. Afin d’arriver en forme le jour J, je prévois dans les mois à venir de faire des sorties plus longues pour travailler l’endurance. Continuer à être régulier et augmenter le volume kilométrique par semaine seront également au programme jusqu’au jour-J.
Quels sont vos objectifs pour ce marathon ?
Mon objectif est de prendre un maximum de plaisir pour ce marathon et de pouvoir représenter au mieux votre association. Étant donné qu’un marathon est quand même un sacré challenge, je me fixe le challenge de terminer la course en moins de 4h.
Comment vous sentez-vous aujourd’hui face à ce challenge : celui de courir 42,195 kilomètres dans la capitale ?
Je suis très motivé à l’idée de courir ce premier marathon dans la ville de Paris. Ma première motivation est de pouvoir courir sous les couleurs de l’association Franck, un Rayon de Soleil car j’estime qu’il est important de se servir de ce type d’événements pour sensibiliser et défendre des associations comme la vôtre. Ma seconde motivation est plus sportive car courir un marathon a toujours été un rêve pour moi.
Un conseil à donner à quelqu’un qui souhaite se lancer dans un projet sportif et caritatif ?
Je lui dirais tout d’abord de se lancer et de trouver un projet ou une association qui lui tient à cœur car c’est ce qui est le plus important.
Un grand merci à Jean Muller, un exemple inspirant de dépassement de soi et de solidarité. À travers son engagement pour notre association et son défi personnel de courir son premier marathon, il prouve que le sport peut être un vecteur puissant de sensibilisation et de générosité. Nous le remercions chaleureusement de nous avoir choisi pour partager cette aventure et nous lui souhaitons beaucoup de succès pour le Marathon de Paris 2025.
Pour lui donner un maximum de soutien, n’hésitez pas à suivre son aventure sur Facebook et sur Instagram !